Un risque de bulle immobilière

Selon une analyse de la banque UBS, les prix des logements à l’achat ont augmenté de 4% au deuxième trimestre 2020, la plus forte hausse depuis 2013.


Même si la situation devrait s’apaiser d’ici à 2021, le risque de bulle a considérablement augmenté depuis le début de la pandémie.

La crise a en effet provoqué un choc se traduisant par une hausse des prix des logements. Des augmentations de prix qui, selon les économistes, ne sont pas soutenables étant donné la baisse des revenus des ménages. 
Une crise sanitaire et économique qui, de fait, accentue les déséquilibres sur le marché de l’immobilier.
Les principales régions à risques et en fort déséquilibre se situent à Lausanne, à Bâle ainsi que qu’autour du lac de Zurich.

Les économistes sont toutefois confiants et estiment qu’un retour à la normale de la situation économique devrait limiter le risque de bulle immobilière et ce, même si les prix des logements à l’achat ne diminuent pas.

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