Une crise moins dure que prévu ?

Selon la Banque cantonale de Genève (BCGE), la crise liée à la pandémie de coronavirus pourrait laisser moins de traces que prévu.


L’établissement bancaire estime en effet que les scénarios avancés par les économistes sont trop sombres et favorisent le pessimisme des consommateurs.
Un pessimisme qui trouve naissance, selon la cheffe économiste de la Banque cantonale de Genève, dans le fait que « c’est l’une des premières fois où l’on touche de façon globale à la santé. »

La BCGE, quant à elle, se veut plus confiante et envisage davantage un choc brutal mais temporaire, tablant sur une récession de 3,9% du PIB pour l’année 2020 et un rebond de 4,2% en 2021.

La résilience de l’économie suisse s’explique notamment par le fait que les secteurs économiques les plus puissants du pays sont ceux qui vont le mieux résister à cette crise.
Parmi eux, la chimie et la pharma, première industrie exportatrice de Suisse, dont l’activité est favorisée par la pandémie de coronavirus.

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